Faits Divers
Les nombreux mails, mais aussi les questions que j’ai reçues lors des différentes éxpositions, rendent évident qu'il y a encore beaucoup de malentendus au sujet de beaucoup de choses pourtant relativement simples. Bien sûr, la partie des amateurs n’est pas non plus rendue vraiment facile. En effet, nous pouvons voir que les vétérinaires sont divisés en un groupe qui se concentre principalement sur la préscription des antibiotiques pour maintenir les oiseaux en bonne santé et il y a un autre groupe de vétérinaires dont je fais moi-même partie, qui ne veulent qu'utiliser des antibiotiques si nécessaire, mais qui veulent aussi donner un soutien plus naturel, de sorte que les oiseaux sont moins sensibles à diverses infections qui les menacent, limitant ainsi l'utilisation des médicaments.
Préparation
Dans le dernier bulletin, j'ai démontré l'importance de conserver une bonne défense chez les pigeons, pour obtenir de bons résultats dans le sport colombophile. Comme je m'y attendais, un tel article évoque un certain nombre de questions et propositions qui commencent par un « oui, mais ».
Par mesure de précaution, j'avais déjà fait savoir que je ne suis pas contre l'utilisation d'antibiotiques lorsqu’il est nécessaire. Je suis même heureux qu'il y ait de bons médicaments. Il serait bien de le garder ainsi.
Le gouvernement vise pour plusieurs raisons à limiter l'utilisation d'agents antibactériens. C'est un fait que tout le monde doit accepter. Les colombophiles finalement subissent aussi les conséquences de cela.
Mais indépendamment de ce que le gouvernement dit, il est bon de penser à une utilisation responsable de ces médicaments. Nous devons tous faire face au risques de résistance des bactéries envers les antibiotiques après une utilisation excessive.